Châtiment pour une épouse

Catégories : FANTASME
il y a 10 ans

L'homme qui ouvre la porte d'entrée du manoir 19ème siècle totalement isolé toise avec intérêt l'élégante visiteuse qui se trouve dans l'entrée. La jeune femme est ravissante et doit avoir à peine vingt ans. Son visage un peu rond, aux yeux noisette, a des traits fins, et réguliers. Une chevelure noire l'encadre, très longue, tombant sur ses reins.

Elle est vêtue d'une simple robe, blanche, assez courte, qui met en valeur son teint bronzé, et révèle des formes juvéniles mais bien en chair comme beaucoup de femmes de type latin.

Son regard fixe et dominateur subjugue aussitôt la jeune femme, étonnée de cet accueil froid. D'instinct elle reconnaît en l'homme un être dur et tyrannique, un "Maître" et elle a peur tout à coup, sans bien savoir pourquoi. Grand et musclé, il est dans la quarantaine et porte un polo noir et un pantalon de cuir de même couleur.

"Bonjour Monsieur! …" Dit-elle malgré tout avec un sourire engageant. "Je suis Alita Cordier... mon mari est René Cordier que vous connaissez bien m'a-t-il dit... il m'a demandé de vous remettre cette enveloppe en main propre… je dois parait-il attendre une réponse..."

L'homme s'efface sans mot dire et, tout en la fixant d'un regard qui lui donne des frissons dans le dos, il lui fait signe à la jeune femme d'entrer. Il prend l'enveloppe de ses mains, puis la précède dans un petit salon agréablement meublé. Là, il l'ouvre et lit en prenant son temps. Puis, son regard se relève vers elle et il la fixe dans les yeux sans prononcer une parole jusqu'à ce que, dominée et confuse sans savoir pourquoi, elle baisse le regard. Cet homme grand et mince au regard noir et fixe l'impressionne terriblement.

  • Sais-tu ce que dit ce message? …" Dit-il soudain d'une voix peu amène en la tutoyant.

Etonnée de tant de grossièreté elle le dévisage courageusement en répondant fièrement:

  • Non-Monsieur, mais mon mari m'a dit d'attendre, que c'était important pour lui! …"

  • C'est important en effet… et pas uniquement pour lui, mais aussi pour toi... René m'écrit qu'il a la certitude que tu l'as trompé... il me demande de t'interroger à ce sujet... en outre il se plaint qu'avec lui tu es une très pauvre amoureuse au lit… que tu lui refuses des choses aussi naturelles et courantes que la fellation et la sodomie! …"

Devant un langage aussi cru, Alita reste quelques instants sans voix et rougit jusqu'aux oreilles. Lorsqu'elle retrouve finalement la parole elle tente une repartie furieuse:

  • Monsieur je ne vois pas ce qui vous autorise à me parler ainsi... je ne reste pas une minute de plus dans cette maison! …"

Elle se dirige vers la porte d'un pas décidé. Il ne fait rien pour la retenir et elle comprend aussitôt pourquoi. La porte du petit salon est fermée à clefs. Du regard elle cherche une autre issue et s'aperçoit alors seulement que toutes les fenêtres ont des grillages. Il ricane en suivant son manège sans bouger. Elle se rend compte qu'elle se trouve dans une pièce sans issues et l'inquiétant individu, reste là devant elle, s'apprêtant manifestement à la cuisiner pour lui faire avouer ses écarts conjugaux.

  • Tout cela me paraît ridicule…" S’entend-elle déclarer d'une voix qui tremble un peu d'émotion. "Nous pourrions..."

Mais, la prenant au dépourvu, il lui balance une forte gifle qui la fait d'un coup tomber en arrière, assise par terre. Un instant la pièce se met à tourner. Puis, sans très bien comprendre ce qui vient de lui arriver, Alita se redresse péniblement, se retrouvant à genoux sur le carrelage du salon. Reprenant un peu ses esprits elle voit que ses bas sont déchirés, ses genoux écorchés et qu'elle s'est tordue un doigt en tombant.

  • Debout! …" Grogne-t-il aussitôt méchamment en l'attrapant par la chevelure.
  • Vous êtes fou ou quoi!…" Hurle-t-elle à l'adresse de la brute en de débattant comme une furie. "Vous ne voulez pas me maltraiter sexuellement tout de même? ..."
  • Debout j'ai dit et vite!… et ici c'est moi qui pose les questions..." Insiste l'homme et la traction qu'il exerce méthodiquement sur ses cheveux lui arrache des cris et des larmes.

Hébétée, elle tente vainement de se redresser en tremblant de tous ses membres.

  • Arrêteeeeeez!... ou vous aurez des ennuis... je porterai plainte à la police..." Dit-elle bêtement entre deux pleurs.
  • Ne te fais pas de bile pour mes ennuis, c'est toi qui vas en avoir si tu ne fais pas ce que je te dis!…"

En parlant il se baisse et la tire fortement par le devant de sa robe pour la redresser. Puis, dès qu'elle est sur ses pieds, d'un geste brutal, il déchire la robe d'un seul coup du haut jusqu'en bas.

  • Nooon... non!... ne faites pas ça!…" Glapit-elle, paniquée, en tentant vainement de le repousser.

Mais il ne parait pas vraiment disposée à l'écouter. Il la saisit au contraire brutalement par les deux seins, à peine encore dissimulés par un mince soutien-gorge en dentelles, pour la catapulter contre le mur derrière elle. En heurtant la paroi, elle croit mourir de douleur sous le choc.

  • Ooohhh!... je vous en prie..." Gémit-elle faiblement en s'affalant le long du mur.

Mais il est sur elle à nouveau et une lueur sauvage et lubrique danse dans ses yeux noirs. Il lui enfonce douloureusement un genoux dans le ventre pour l'immobiliser et ses mains ignobles, énormes s'abattent à nouveau sur elle.

  • Tu ne sortiras pas d'ici avant de m'avoir tout avoué, tout raconté... tout ce que ton mari désire savoir... tout ce que tu lui cache... faire parler et obéir des chiennes dans ton genre c'est ma grande spécialité!…" La menace-t-il en la frappant n'importe où.

En fait il ne frappe pas très fort. Ce qu'il désire c'est, par cet accès de brutalité, briser d’emblée toute volonté de résistance de la jeune femme. Et il y réussit parfaitement. Abasourdie, elle finit par s'écrouler totalement, roulée en boule contre le mur, encaissent les claques rudes en grognant et vociférant comme une folle. Puis, s'apercevant qu'elle est au bord de l'évanouissement, il se redresse et la laisse patiemment reprendre son souffle. Elle met quelques minutes à récupérer et finit par jeter vers lui un regard apeuré. Il est debout devant elle et la domine de toute sa stature. Avec horreur elle remarque alors qu'il tient à la main une courte cravache d'équitation.

  • Tu resteras ici quelques jours ma belle... jusqu'à ce que René lui-même décide de venir te rechercher... du moins s'il veut encore de toi... alors autant que tu apprennes tout de suite les règles de la maison... tu m'appelleras Maître, et pendant tout le temps de ton séjour ici tu m'obéiras sans hésiter... chaque faute ou désobéissance sera sévèrement punie avec ceci! …"

D'un geste il désigne une panoplie de cravaches, de fouets et de martinets rangés en bon ordre dans une armoire qu'il vient d'ouvrir.

  • Vous... n'oseriez... pas me... me..." Bafouille-t-elle en se redressant péniblement pour lui faire face, mais son ton manque de conviction.
  • Ne fais pas l'idiote!... fais ce que je t'ordonne et ça ne se passera pas trop mal pour toi!... Dit-il pour toute réponse. "Tu es ici parce que René m'a demander de te dresser... de te donner la fessée à la moindre incartade... bref de faire de toi une femelle obéissante et attentive aux désirs de son mari... et je t'assure que quand tu sortiras d'ici c'est exactement ce que tu seras devenu..."

Elle l'écoute, éberluée, croyant avoir à faire à un fou. Mais, la peur panique qui s'est emparé d'elle reprend le dessus lorsqu'elle le voit balancer sa cravache d'un air menaçant et au lieu d'obéir elle se relève d'un bond et fuit vers le fond de la pièce.

  • Si vous me toucher encore je hurle!…" Lui crache-t-elle rageusement au visage.
  • Tu hurleras de toute façon dans une minute, alors ne te prive surtout pas... j'adore ça!... au plus tu cries au plus ça m'excite!..."

Tout en prononçant ces derniers mots, il fond à nouveau sur elle d'un bond incroyablement souple et rapide. De surprise elle recule, trébuche contre un canapé et tombe lourdement en arrière en s'étalant sur le tapis. L'homme s'accroupit immédiatement au-dessus d'elle, la retourne sur le ventre. Il a l'air de s'amuser follement. Avec ses deux genoux sur le dos d'Alita il la cloue au sol de tout son poids en sortant une cordelette de sa poche.

Elle a beau gigoter et hurler rien n'y fait. Une poigne de fer lui tord les bras dans le dos et elle se retrouve bientôt avec les poignets étroitement ligotés. Une autre corde lui lie ensuite douloureusement les coudes ensemble et son dominateur ne se prive pas de serrer très fort. Lorsqu'il se redresse elle est tellement paniquée, que même sans les cordes qui la ligotent elle aurait été incapable de bouger. Sans effort apparent il la soulève d'une main et la remet sur ses pieds. Il lui passe ensuite une corde autour du cou comme un licou et lui dit:

  • Viens ma belle pouliche! ... j'ai en haut une salle très spéciale où nous serons beaucoup mieux pour te faire avouer tes petits secrets..."

Sans aucun ménagement il la traîne derrière lui. Comme la corde qui lui entoure le cou gracile a un nœud coulissant, elle est bien obligée de suivre le mouvement pour ne pas être étranglée. L'étrange cortège sort de la pièce et monte vers les combles de la grande maison. Alita se retrouve dans un grenier spacieux qui couvre apparemment toute la surface de la villa. Les poutres de chêne qui forment le toit sont apparentes et se trouvent à environ 2.50 m du plancher.

Tant aux poutres que dans le plancher elle voit partout des anneaux métalliques, ainsi que des cordes et des chaînes qui pendent ça et là. Le long des murs se trouve une collection impressionnante de fouets, de cravaches, de canes d'osier et de palettes de toute sorte et de toutes les tailles. Sans dire un mot l'homme emmène sa captive, à moitié suffoquée, sous une des solives et attache la corde qu'elle a autour du cou au-dessus de sa tête.

Il tend tellement la corde qu'elle est obligée de se mettre sur la pointe des pieds pour ne pas être étranglée. L'homme en noir se tourne alors vers elle et dit : "Ma jolie!... ton mari s'est beaucoup plaint à ton sujet... tu devras d'abord tout avouer et ensuite obtenir le pardon de ton mari... et tu devras accepter ta pénitence avec gratitude... vas-tu coopérer ou dois-je t'infliger une rude correction pour commencer?.. n'oublie pas que j'aime ça!…"

Alita tremble maintenant tellement de peur et d'émotion qu'elle ne sait plus quoi dire. Toute son énergie est concentrée sur l'équilibre qu'elle doit maintenir pour ne pas se pendre au nœud coulant qui lui enserre le cou. L'homme s'en rend compte et détend légèrement la corde pour lui permettre de reprendre un peu son souffle avant de continuer à l'interroger. Il commence, comme dans un interrogatoire de police par des questions simples:

  • Comment t’appelles-tu?…"
  • Alita, monsieur... Alita Cordier... vous le savez bien..." Aussitôt il lui lance un puissant coup de cravache sur la jambe gauche en hurlant:
  • Je t'ai pourtant dis de m'appeler Maître!…"

Elle hoquette de douleur et se reprend aussitôt:

  • Alita, Maître..."
  • Bien, c'est mieux... quel âge as-tu?…"
  • J'ai 21 ans..." Dit-elle après une hésitation.

Un nouveau coup de cravache au travers de sa cuisse gauche la déséquilibre. De ce fait le nœud coulant se tend et lui coupe aussitôt le souffle. Elle pousse un cri aigu en tentant de retrouver son équilibre précaire et proteste:

  • Mais... mais... j'ai répondu..."

Un nouveau coup zèbre son épaule cette fois.

  • Tu oublies un peu trop vite les règles de la maison, petite chienne idiote !... ici tu n'es plus qu'une esclave soumise à mon bon plaisir... et chaque fois que tu me répondras tu me diras Maître... as-tu compris?…"

Un nouveau coup de cravache cependant moins puissant ponctue cette question. Suffoquant à cause du nœud coulant trop serré, elle parvient cependant à balbutier:

  • Oui... mai... maître..."
  • Bien... continuons... à quel âge t'es-tu fait dépuceler? …"

Par cette question volontairement brutale et indiscrète il veut tester le degré de sa docilité. Elle rougit sous l'insulte et hésite quelques instants avant de répondre, mais lorsque l'homme lève à nouveau sa cravache elle dit très vite:

  • J'avais 14 ans... m... mai... maître".
  • Bien!… tu apprends plus vite que je ne le croyais… finalement je pense que nous allons bien nous entendre… qui t'as dépucelé? …" Elle hésite à nouveau et il le remarque.
  • Ne tentes pas de me mentir ou il t'en cuira! ..." Tonne-t-il pour l'impressionner et l'empêcher de chercher une réponse plausible.

Elle tergiverse encore, mais il ponctue aussitôt sa question d'un nouveau coup qui lui zèbre la cuisse droite. Elle hurle de surprise, puis, toute honteuse et soumise à la fois elle dit dans un murmure presque inaudible:

  • Mon frère... maître..." L'homme jubile secrètement devant cette confession inattendue et sans doute très pénible et humiliante pour la jeune femme. C'est probablement la première fois qu'elle en parle à quelqu'un. Mais il ne se montre pas pour autant satisfait de cette réponse.
  • Par qui? …" Tonne-t-il à nouveau. "Parle plus fort! …"
  • Par... mon frère... Maître..."

Pendant ces aveux honteux le rouge monte aux joues de la belle Alita et les larmes coulent de ces beaux yeux.

  • Ton frère aîné? ..."
  • Oui... oui... maître..."
  • Bien... tu me raconteras cette histoire croustillante en détail plus tard... avant cela... je veux savoir si tu as déjà été enculée? …"

La question est tellement directe qu'Alita détourne le regard, toute confuse. Devant sa nouvelle hésitation il lève la cravache et la cingle en travers de son corsage. Malgré les pans de sa robe et son soutien-gorge qui la protègent quelque peu, le coup a porté et elle en perd totalement l'équilibre. La pointe de ses pieds se dérobe sous elle et elle est soudainement suspendue par le cou au bout du nœud coulant qui l'étrangle prestement.

L'homme la surveille, mais n'intervient pas tout de suite. Peu à peu le visage de la jeune fille vire au rouge, puis au blanc sa bouche s'ouvre dans une dernière tentative de happer de l'air et sa langue sort de sa bouche dans une grimace grotesque. Elle suffoque réellement et est en train de perdre lentement conscience lorsque l'homme décide enfin d'intervenir. Prestement il coupe la corde et la laisse choir lourdement sur le plancher du grenier. Couchée devant lui, recroquevillée sur elle-même, elle aspire l'air à grandes goulées en roulant des yeux terrifiés.

Une profonde marque rouge est visible sur sa gorge.

Auteur: Thor Dogtrainer

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